Modérateur: FootNantais modo
Press-é a écrit:Une libération de Nantes sans un seul coup de feu !
il s’agit du sous-marin Minerve. Il fut mis sur cale en mai 1958 aux chantiers Dubigeon à Nantes puis à flot le 31 mai 1961. Le 27 janvier 1968, la Minerve navigue au large de Toulon. La météo est mauvaise. Elle est en contact avec un avion Breguet atlantic afin de tester ses radars. Le sous-marin disparaît quelque temps après, avec ses 52 membres d’équipage, au sud-est du cap Sicié par 2000 m de fond. Le dernier contact a lieu à 7 h 55 du matin. Depuis, plus rien. Malgré des recherches intenses. En 2013, on ne sait toujours pas où git ce sous-marin et ses 52 hommes. Un site raconte la tragédie :
http :// s.m. minerve. free.fr/
Le mouvement culturel contestataire punk est apparu au milieu des années 1970 et dénonçait à sa manière la société. Retour sur son empreinte dans la société actuelle à travers la musique, le look, le graphisme. Reportage à Nantes. Microtrottoir sur les punks, extrait d'une chanson en octobre 1983 à Rouen intitulée "La horde" sur le parvis d'une église.Interview d'Yves Le Rolland, animateur Radio France Loire Océan : les débuts du mouvement punk "plus qu'un mouvement musical", "C'est surtout une attitude"Le look punk : séance de coiffure chez "Daniel coiffure" à Nantes. Autre influence : l'émergence de groupes de rocks (séquence avec le groupe des Atlantes à Nantes). Le fanzine "Gratte toi le cul" de Fred et JB à Nantes où se mêle chroniques de concerts et bandes dessinées. Interviews de Fred, de P'tit marin et JB sur leur liberté d'expression, ce qu'est être punk en 85.
Stéphane Pajot a écrit:Archives Nantes Insolite, 1930, vue du pont d’Orléans sur l’Erdre, qui donnait à gauche sur la rue d’Orléans et à droite sur la rue de la Barillerie, aujourd’hui cours des 50 Otages. A l’occasion de la venue du président de la République française Gaston Doumergue (1863-1937) les 3, 4 et 5 avril 1930 à Nantes, la ville est pavoisée, un mini arc de triomphe a même été dressé sur le pont d’Orléans. Gaston visitera notamment le musée Dobrée le 4 avril 1930 en compagnie du chanoine Durville, le château des ducs de Bretagne, le port de Nantes. La rivière de l’Erdre sera comblée et les ponts, comme celui-ci détruits en 1932. En 1934, la rivière détournée coulera sous les cours Saint-Pierre et Saint-André.
Dans le quartier du Bouffay, les exécutions publiques avaient lieu sur la place du Bouffay et non place du Pilori, le nom portant à confusion. Au 19e siècle, il y avait un puits sur cette place qui appartenait à la famille Lory. Cela devint donc la place du Puits à Lory, puis du Pilori…
Pour mémoire, les premières bornes-fontaines - il en restait une place du Bouffay (récemment enlevée) - ont été installées à Nantes à partir de 1854. Auparavant, la population s’alimentait en eau par les puits. Ils étaient signalés par une plaque portant un P - il en reste encore quelques-unes visibles de nos jours - dans les cours et les porches privés. Les puits publics disparaîtront au profit des bornes-fontaines. En 1857, l’architecte-voyer en chef de la ville, invite la mairie à les détruire et les combler. Ce sera le cas du puits Lory quatre ans plus tard. Seuls étaient conservés les puits éloignés de plus de 120 mètres d’une borne-fontaine. Trois puits nantais seront maintenus : rue Saint-Clément, petite rue Saint-Donatien, et rue des Hauts-Pavés au bureau d’octroi. En 1818, il en existait 23.
Stéphane Pajot a écrit:Une affiche réalisée en 1906 par Jules Grandjouan (né le 22 décembre 1875 à Nantes et mort le 12 novembre 1968), anarcho syndicaliste et grand affichiste. Amoureux de sa ville, il a écrit « Nantes la Grise » (1899) et « Nantes et ses vingt-huit ponts » (1926). Son cri du coeur, toujours d'actualité : « Honte à celui qui ne se révolte pas contre l'injustice sociale ! »
(...) lire la suite de l'article >>>.Depuis ce jeudi, une exposition permet de découvrir les visages des 48 fusillés par les Nazis, le 22 octobre 1941 à Nantes, Châteaubriant et à Paris. Elle est visible sur le Cours des 50-otages, jusqu'au 31 octobre.
Ils étaient 48. Âgés de 17 à 59 ans, ils sont morts exécutés par les Nazis, le 22 octobre 1941, en représailles à l'assassinat d'un commandant allemand, le lieutenant-colonel Karl Hotz, abattu à Nantes par des résistants, deux jours auparavant.
Pour commémorer le 75e anniversaire de cette page sombre de l'histoire, une exposition permet de découvrir, depuis ce jeudi et jusqu'au 31 octobre, les visages de ces 48 prisonniers, pris comme otages à Châteaubriant, Nantes et Paris, avant d'être exécutés.
Les otages fusillés à Nantes : Maurice Allano (21 ans), Paul Birien (50 ans), Joseph Blot (59 ans), Auguste Blouin (57 ans), René Carrel (20 ans), Frédéric Creuse (20 ans), Michel Dabat (20 ans), Alexandre Fourny (43 ans), Joseph Gil (19 ans), Jean-Pierre Glou (19 ans), Robert Grassineau (34 ans), Jean Grolleau (21 ans), Léon Ignasiac (22 ans), Léon Jost (57 ans), André Le Moal (17 ans) et Jean Platiau (20 ans).
Cérémonie commémorative pour honorer leur mémoire des fusillés de Châteaubriant.
Rassemblement sur le parvis de la Mairie, défilé, dépôt de gerbes au monument de la Résistance et Allocutions.
Le 22 octobre 1941, à la carrière de Châteaubriant, les hitlériens faisaient couler le sang de 27 patriotes parmi lesquels Jean Grandel, conseiller général, maire de Gennevilliers, Jean-Pierre Timbaud, militant syndicaliste, Guy Môquet, 17 ans, membre des jeunesses communistes, et Georges Thoretton, à la Blisière quelques jours plus tard. Ils furent fusillés parce que fidèles à la liberté, à la démocratie, à la France. Ils étaient des résistants à l’envahisseur allemand. Leur héroïsme est un exemple pour tous.
Nantes Fascinante - Stéphane Pajot
Hier, à 10:43 ·
La rue Moquechien à Nantes
En 1837, date d'apparition de cette dénomination, se trouvait sur le coteau de Talensac un à-pic que les chiens ne pouvaient pas franchir. D'où les moqueries dont ils faisaient l'objet. On parle aussi d'une ancienne demeure à cet endroit nommée la «maison de Mocchien»
Talensac
Provient de M.Jehan de Talenzac, de la paroisse de Saint-Similien, il fut désigné en 1336 parmi les commissaires chargés de surveiller l'exécution de la police, sur le prix des denrées et des salaires
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